Ah ! Les maudites banlieues ! Une expression "échappée" par l'ex-maire de Québec, Jean-Paul L'Allier, lors du débat sur les défusions. C'est aussi l'expression qui me vient à l'esprit depuis l'élection des conservateurs dans la région lundi soir.
Comme pour le débat sur les défusions, pour l'élection de la mairesse Andrée Boucher et pour celle des conservateurs, on pointe du doigt les résidants de la couronne. À tort ? Non. Je vais même jeter de l'huile sur le feu en ajoutant que la personnalité de la banlieue de Québec explique ce genre de comportements. Unilingue, individualiste, capitaliste et même raciste, notre belle et verte banlieue possède toutes les caractéristiques requises à un vote conservateur. Remise de l'élection de lundi, sa principale préoccupation est maintenant de savoir si la "gratte" ne va pas une fois de plus pousser la neige dans son entrée fraîchement pelletée, la surveillant du coin de l'oeil, le Publi-sac à la main. Retour à la normal, au quotidien banlieusard.
Ok, je l'admets. J'ai moi aussi été "contaminée" dans le passé, ayant habité la banlieue quelque temps. Mais, d'un côté, cet "épisode banlieusard" (ne le dites pas trop fort svp !) me permet de mieux l'analyser. Et même de la comprendre.
"Une odeur de purin flotte sur la ville", avait également dit L'Allier, cette fois lors du long et pénible épisode de la prostitution juvénile à Québec. Malheureusement pour lui, et pour nous, le nuage persiste. En espérant que le vent tourne. Et bientôt.
ps. Je vous aime quand même chers banlieusards ! Mais n'oubliez pas de payer vos taxes ! ;)
Comme pour le débat sur les défusions, pour l'élection de la mairesse Andrée Boucher et pour celle des conservateurs, on pointe du doigt les résidants de la couronne. À tort ? Non. Je vais même jeter de l'huile sur le feu en ajoutant que la personnalité de la banlieue de Québec explique ce genre de comportements. Unilingue, individualiste, capitaliste et même raciste, notre belle et verte banlieue possède toutes les caractéristiques requises à un vote conservateur. Remise de l'élection de lundi, sa principale préoccupation est maintenant de savoir si la "gratte" ne va pas une fois de plus pousser la neige dans son entrée fraîchement pelletée, la surveillant du coin de l'oeil, le Publi-sac à la main. Retour à la normal, au quotidien banlieusard.
Ok, je l'admets. J'ai moi aussi été "contaminée" dans le passé, ayant habité la banlieue quelque temps. Mais, d'un côté, cet "épisode banlieusard" (ne le dites pas trop fort svp !) me permet de mieux l'analyser. Et même de la comprendre.
"Une odeur de purin flotte sur la ville", avait également dit L'Allier, cette fois lors du long et pénible épisode de la prostitution juvénile à Québec. Malheureusement pour lui, et pour nous, le nuage persiste. En espérant que le vent tourne. Et bientôt.
ps. Je vous aime quand même chers banlieusards ! Mais n'oubliez pas de payer vos taxes ! ;)
Commentaires
Dois-je déménager ou changer d’allégeance politique?
#Blu